Posté: Dimanche 30 Mars 2008 18:34
alors j'attend le mode d'emploi, ça m'interesse
Forum sur les chats et chatons
https://www.chat-et-cie.fr/forum/
https://www.chat-et-cie.fr/forum/alimentation-feline/alors-nouriture-pour-mes-petits-t4911-15.html
Creole a écrit:ah oui ça me conforte dans mon idée...ça ne me tente pas.
En plus ça serait compliqué d'élaborer un repas qui convienne à mes deux amours, Créole est très très difficile et a besoin d'une nourriture riche car elle est très maigre et Brindille est en surpoids...
Une étude relativement bien connue menée en 1946 par le Dr Francis M. Pottenger, un médecin américain, a permis de montrer les effets néfastes de la cuisson des aliments sur la vitalité et la longévité des animaux.Cette étude a porté sur 900 chats répartis en deux groupes qui ont été nourris pendant plusieurs générations, le premier d’aliments crus et l’autre, d’aliments cuits. Pottenger a noté que les chats du premier groupe n’étaient jamais malades, que le taux de fécondité, le nombre d’anomalies congénitales et fœtales, la grosseur des petits à la naissance, la longévité, la résistance aux parasites comme les puces et les vers intestinaux, la santé des dents, des gencives et des os, la qualité de la fourrure, le lustre du poil, l’allure générale de la silhouette étaient sans commune mesure à côté de l’autre groupe. Autrement dit, les animaux du premier groupe étaient en parfaite santé10.
Pour ceux qui désirent en savoir plus, voici l’adresse et le numéro de téléphone de La Fondation Sur La Nutrition Price Pottenger:
Price Pottenger
Nutrition Foundation
P.O Box 2614
La Mesa, CA 91943-2614, USA
(619) 574-PPNF.
www.price-pottenger.org
Une autre étude réalisée en Inde par un médecin anglais, le Dr Mc Carrison, confirme l’importance d’un régime cru et naturel. Mille rats soumis pendant vingt-sept mois à un tel régime n’ont pas manifesté un seul signe de maladie. Leurs organes étaient parfaitement sains et ne présentaient aucune lésion dégénérative11. D’autres études corroborent ces observations12.
C’est la nourriture industrielle et non la viande crue qui pose des problèmes bactériologiques. L’alimentation industrielle irrite la paroi de l’intestin et crée l’environnement parfait (chaud, humide, avec plein de sucres et d’amidons) dont ont besoin les bactéries pour se développer. C’est pour cela que des milliers d’animaux nourris avec une alimentation industrielle souffrent d’une condition appelée pullulation bactérienne de l'intestin grêle ou SIBO (Small intestinal Bacterial Overgrowth ) (Lonsdale, T. 2001 Raw Meaty Bones. Pg 85).
"J'ai constaté" explique le vétérinaire belge Gérard Lippert, "que la longévité des chiens a diminué. Elle atteint une moyenne de 12 ans alors que selon les races, un chien peut facilement vivre 16, 17 voir 18 ans. Les chats peuvent vivre plus longtemps, mais c'est devenu rare de voir un chat de 20 ans"
Pour le vétérinaire Marc Torel et le journaliste scientifique allemand Klaus Dieter Kammerer, auteurs du livre, L'erreur du millénaire de la médecine vétérinaire, c'est clair : " le calcul et les stratégies commerciales n'ont pas besoin d'un chien en bonne santé mais plutôt d'un chien malade. […] Dans les pays occidentaux, l'industrie et les vétérinaires entretiennent dans un système totalement corrompu une certaine criminalité des blouses blanches et des cols blancs à travers la plus grande escroquerie de l'histoire de la médecine vétérinaire."