(suite !)
Ma Vanille (celle de mon avatar) a eu beaucoup de petits noms d'amour... c'était "ma p'tite renarde", "mon écureuil", "mon Daemon"
(j'ai lu tardivement "A la croisée des Mondes", de Philip Pullman...) toujours perchée sur mon épaule... Je l'adorais ! Elle est morte il y a 5 ans mais parfois je rêve d'elle et c'est bon !
Juju, c'est un peu comme Tchô... des glissements de noms plutôt que des p'tits surnoms... Avant que les anciens locataires ne l'abandonnent, ils l'avaient nommée, quand même : c'était Choupette
(eh oui !), mais on ne l'a su que bien après, par une voisine.
En fait, elle a commencé par se cacher, et puis par marquer la porte d'entrée - on ne l'avait pas encore vue, et comme alors j'avais Vanille et sa mère, pas encore stérilisées, confinées à la maison, j'ai cru que c'était un mâle qui faisait le siège des deux belles, et donc ce fut Roméo !... mais non, alors bien sûr ce fut Juliette, dite Juju - la Juju du Bocage !... et tout naturellement, son fils fut Roméo, débaptisé très vite par sa future adoptante en Mao (!).
Chiquito s'appelle ainsi en souvenir de la chatte d'avant Vanille, à Paris, Chiquita, une tricolore, baptisée par des amis mexicains.
Quand mon chien Enée est mort, il me restait deux chats, lui et Tchô, qui sont donc vite devenus "Tchick et Tchô". Alors Tchick lui est resté - ou parfois Quito, voire "mon Quitoto". Lui aussi comme Vanille a une place spéciale dans mon coeur...
Mimoun s'est d'abord appelé, bêtement, Minou, quand je l'appelais plusieurs fois par jour pour lui donner à manger, sans pouvoir encore l'approcher. Et il courait tellement vite pour me fuir, qu'un jour, c'est Mimoun qui m'est venu (le nom d'un coureur à pied célèbre dans ma lointaine enfance !). Et ça lui est resté. Mais il a droit parfois à "gros chaton", étant resté très jeune dans sa tête
Et Alma, ben c'est Alma - ou exceptionnellement Mama - pourtant, elle n'a pas du tout le look, tout petit gabarit...

Voilà.