par Minoucha7851 » Jeudi 10 Octobre 2013 18:42
Mon bébé, mon doudou mon chaton ...
Tu étais tout. Tu sera toujours tout.
Tu es arrivé dans ma vie, vraiment par hasard. Tu m'a suivit, tu es monté dans la voiture, et tout de suite tu m'a adoptée. J'avais déjà deux autres chats, je ne pensais pas te garder, ma seule obsession était de retrouver ta famille. Alors j'ai chercher pendant des jours et des jours, et plus je cherchais, moins je voulais les trouver. Tu étais tellement mignon ...
A la maison tu as tout de suite pris tes marques, quand t on a ramené, la première chose que tu as faite, c'est te coucher à côté de nous ...
La première nuit, alors que je dormais, j'ai sentis un chat ses coucher sur ma poitrine "Ficelle, non descend", mais ficelle n'est pas descendu non, puisque c'étais toi qui étais sur moi. Et cette habitude, tu l'a gardée jusqu'a ton dernier jours. Tu dormais sur moi, mon bras sur toi, et tout les matins, je me levais avec toi.
Nous descendions les marches, tu me donnais pleins de petits miaou pour avoir ton repas. Ils me manquent tellement, tes miaous. Tu me manques.
Puis, je prennais la laisse du chien, et nous sortions, tout les trois. Je ne sais pas si tu me suivait ou si tu suivait la chienne, mais tu étais toujours là, et quand je m'arrêtais pour apprendre au chien a rester au pied, tu t'arrêtais. Tu étais extraordinaire, un chatchien même.
Oui, mon bébé connaissait assis, couché, et au pied, oui, c'étais bel et bien un chat ... bien sûr, sans friandise ça ne marchais pas tellement. Oh, tu étais tellement gourmand. Un jours, lors d'un repas de famille, tu as volé un poulet entier. Je m'en souviendrais toujours. Tes petits yeux d'innocent, du genre "c'est pas ma faute, il est venu tout seul dans mes pattes !"...
Je t'aime tellement, tu sais, je n'arriverais jamais a déculpabiliser de se jours là, ce jours ou tu as été arraché à la vie.
Si seulement j'avais mieux fait les choses...
C'etait le dernier dimanche de janvier, et je ne ferais jamais mon deuil.
Comme d'habitude, tu étais revenu de ta promenade tout poussiéreux, tout pleins de terre, et tu t'es couché sur le lit tout propre, je t'ais dit "non!", tu m'a regardé, et tu es partis. J'ai continuer a changer les draps, et je n'ais pas regardé ou tu allais ...
Deux heures plus tard tu n'étais pas rentré. J'ai compris qu'il y avais un problème, oui, d'habitude tu rentrais toute les demi heure faire un "miaou, coucou je suis là". Il étais 13h envions. Je suis sortie, avec la chienne pour qu'elle te trouve, avec une boite de croquettes pour que tu les entendes, et je t'ais appelé. J'ai fais tout le tour du lotissement, et, vaine de mes recherches, j'ai pris la route du retour une heure plus tard. En approchant de la maison, je continuais a t'appeler, et des personnes qui posait un nouveau portail m'ont demandé si je cherchais un chat. J'ai eu une lueur d'espoir... Il m'ont demandé ta couleur, je leurs aient répondu, et il m'ont indiqué du doigt une poubelle. Je n'osais pas aller voir, je pleurais déjà. Je pleure encore. Tu me manques tellement mon ange, si j'étais aller te chercher plus tôt, tu serais toujours là ...
Les personnes m'ont expliqués. Comme a ton habitude, tu traversais la rue en direction de la maison d'un pas nonchalant, avec tes allures de princes. Une petite voiture rouge est arrivée, a accéléré a ta vue , et t'as percuté. Je l'ais chercher cette voiture, je te jure que je l'ais chercher, je lui aurait crever les pneus, je l'aurais brûler, je ne sias pas ce que j'aurais fait, mais je m'en veux tellement. Mon petit ange, ma patte comme je te disais.. Tu nous laissais tout faire ... Je me souviens quand Keryan petit t'attrapais par les pattes, la queue, tu ne disais rien ... Je ne t'ais jamais vu cracher ou sortir les griffes, jamais. Tu aimais tout le monde, tu faisait confiance a tout le monde. Trop confiance, la preuve, si tu avait eu peur de la voiture, tu aurais peut être couru ...
ça fait déjà 3 ans que tu es partis. J'ai l'impression que c’était hier. Je pleure a chaque fois que je parle de toi, a chaque fois que je pense a toi. J'en ais eu des chats depuis, oh oui, mais jamais plus je n'aimerais un chat autant que je t'ais aimé. Toi, le plus grand amour de ma vie, plus grand que tout ce que j'ai connu.
Je ne pourrais jamais t'oublier. Je ne pourrais jamais oublier la dernière image de toi qui me hante, cette image pleine de sang.
...Mon bébé, mon doudou, mon chaton.