Martine a écrit:Pour les animaux, la chose est encore plus compliquée car ce sont des 'patients muets' et il y a un tiers dans l'entrevue malade/véto, le maître!
Coucou à vous toutes (je pense à vous
) malgré mon absence...
Et oui, d'autant quand c'est le maître qui étant malade, fait "souffrir" inconsciemment son animal (mais y parvient parfaitement) en toute "méconnaissance" (inconsciente bien-sûre) de cause... c'est aussi pour cela que le "comportementaliste" a un parcours qui intègre la psychologie humaine... car on connaît suffisamment la puissance des résistances et du déni...de l'humain (ce ne peut-être lui qui est malade ou qui créé un environnement pathogène...), surtout quand c'est l'animal qui est hélas, devenu à son "corps défendant", le symptôme du "propriétaire" malade, ou en état de pathologie chronique...
Donc une écoute "fine" de l'humain et de l'animal sont indispensables... De plus, c'est déjà souvent difficile pour le" psychologue" alors pour le pauvre médecin des animaux... qui doit proposer un "traitement" "inutile"... puisque c'est l'humain qui est "le facteur pathogène"... : et oui, "on" critique souvent les vétos en les disqualifiant, mais, personnellement, je n'aimerai pas à être à leur place... souvent à cause de l'humain... justement...