Tout a commencé par l'acquisition de deux petits chats ramenés à ma mère, ni vue, ni connue. Par miracle, elle a dit oui. Il s'agissait d'un mâle (Je ne sais plus trop son nom mais c'est du même acabit que la femelle) et une femelle (Mèmère, oui c'est pas très original, et alors !), frère et soeur. Ni une ni deux, vivant à la campagne, le mâle à a disparu au bout de plusieurs mois. La femelle est restée avec nous quelques années, nous donnant deux portées de chats tout à fait normaux, mignons cependant. Si mignons que nous en avons gardé un noir et blanc (Pino, comme celui des Charentes). Mèmère a disparu....puis Pino ensuite.
Ce qui est triste c'est qu'à quelques pâtés de maison de chez moi, il y a une maison qui a brulée. Et un ami à la famille, pompier, est venu nous rapporter que c'est dans le congélateur de cet homme qui vivait dans la maison que mes chats se trouvaient depuis tout ce temps (une semaine ou deux). Il restait encore la fourrure, donc ils étaient facilement reconnaissables. J'ai eu une sacré peine et j'ai eu du mal à m'en remettre.
Cet homme est décédé quelques jours ensuite.
Je me suis alors dit que je ne resterais pas dans minou et un des petits chatons que j'avais donné, devenue adulte à son tour, a fait des bébés. Alors j'ai pris une petite femelle que j'ai appelé Luna.
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Nous avons gardé Luna pendant des années, mais sans doute pas assez. Elle devait avoir 4 ans quand elle a disparu.
Quand j'ai eu mon chez moi, j'ai décidé d'avoir un chien, peut-être que lui ne disparaitrait pas comme ça. Il était notre bébé, notre amour, c'était un Bull terrier, une tête de con adorable.
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Malheureusement, il s'est avéré qu'à 8 mois, il a commencé à grogner sur des choses qu'on ne voyait pas, nous, et a gniaquer dans le vide. Stimulé par le jeu, il était un chien comme les autres, mais pétait littéralement les plombs parfois. Nous avons tout tenté, mais la maladie du Spinning est pas vraiment connue dans mon patelin et les dents dans le pantalon nous a ramené à la réalité. Nous avons pris la fâcheuse décision de le faire piquer, à contre cœur. Nous en avons été malade.
La pilule étant passée, plusieurs années après, ma mère a trouvé un petit chaton aux portes de son boulot, elle l'a pris en pensant le garder, sauf que je lui ai piqué fourbement. Trop mignon, je pouvais pas laisser passer ça !
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Aha ! Vous me croirez ou pas, mais à à peine 4 mois, il a...disparu. Ce chat ne sortait pas très loin, jamais sur la route, jamais dans la pâture derrière chez moi, juste chez nos voisins (mes parents, eh oui, c'est pas si terrible que ça d'avoir ses parents à côté :p), pour jouer avec les deux chiens.
Bref, me voici aujourd'hui, prête à prendre un chat/une race qui s’acclimate bien en intérieur puisque Haagen sera un chat qui ne mettra pas un pied dehors.
Pour ce faire, j'ai choisi un Birman. Après plusieurs lectures, j'ai appris que cette race était tout ce qu'il me fallait alors je fais le grand saut.
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Je n'ai pas énormément de photos mais quand il sera à la maison, le mois prochain, il sera la star :p