je suis repassée sur ton magnifique site ,on y suit la vie de tes splendides minous comme si on y etait,je les trouve tous tres beaux mais j'ai un faible pour le majestueux Nelson,or en passant sur le chapitre qui lui ai consacré,j'ai lu qu'il t'aurait quitté en octobre 2009,pourtant tu as mis des nouvelles fotos de lui recemment!!!,aurais tu un autre Nelson?
je voulais te demander combien il pèse ou pesait,je n'ai jamais vu de visu de maine coon,mon chat Sweety qui lui ressemblait etait imposant,il avait une belle collerette de poils,une queue magnifique,ma voisine l'appelait le roi soleil,pcqu'il etait vraiment splendide quand le soleil filtrait a travers sa magnifique queue, mais il ne faisait que 5kgs
je crois que le maine coon est un chat beaucoup plus imposant
quelle est cette maladie dont il serait mort?c'est vraiment dommage il avait l'air tellement copain avec aldo,dis toi qu'il a passé du super bon temps sur sa balancelle,dans son enclos a batifoler avec les copains,et s'il est mort rapidement ,au moins il n'a pas souffert,c'est tellement dur de les voir deperir,sans savoir s'il souffre le martyr ou pas,car ils ne se plaignent jamais
je me permet de mettre ici ce passage emouvant de la poesie d'Alfred de Vigny sur" la mort du loup",cette poesie m'a toujours fait fondre en larmes,et encore maintenant,mais elle est tellement vraie,j'espere seulement qu'elle te parlera sans trop te desesperer,tu comprendras (si tu ne la connaissais pas) pourquoi ton delicat Nelson est parti en gentleman
pour resumer ,pour ceux qui ne connaissent pas cette poesie,les chasseurs (dont de Vigny) ont tué le loup qui s'est sacrifié pour sauver sa progeniture,de Vigny realise a ce moment la qu'il a honte et que ce loup vient de lui donner une belle lecon de vie
Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d’Hommes,
Que j’ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C’est vous qui le savez, sublimes animaux !
À voir ce que l’on fut sur terre et ce qu’on laisse,
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
— Ah ! je t’ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m’est allé jusqu’au cœur.
Il disait : « Si tu peux, fais que ton âme arrive,
À force de rester studieuse et pensive,
Jusqu’à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j’ai tout d’abord monté.
Gémir, pleurer prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t’appeler,
Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler. »
(Alfred de Vigny, né le 27 mars 1797 à Loches, Indre-et-Loire, mort le 17 septembre 1863 à Paris
le lien vers la poesie entiere:
http://www.feelingsurfer.net/garp/poesi ... uLoup.html