une approche que je n'aime pas, valable aussi chez les humains d'ailleurs, c'est de chercher à supprimer le symptôme (qui finalement a son sens) et de ne pas chercher la cause
grande allergique moi-même, j'ai vu un tas de médecins, je dois connaître à peu près tous les antihistaminiques du marché
et aucun ne m'a posé de question sur mon milieu de vie
alors qu'il suffit de supprimer l'allergène de son environnement
aujourd'hui, je ne prends plus rien, j'ai ce qu'il faut en cas de crise et c'est tout
au lieu de raisonner en "plus" (qu'est-ce que je peux donner ?*) ils feraient mieux de raisonner en "moins" (qu'est-ce qu'il faut enlever ?)
d'ailleurs, j'aimerais bien savoir, ce poisson omniprésent dans la nourriture pour chat est-il vraiment utile ?
pourquoi y a-t-il plusieurs sources de protéines dans les aliments pour chat ?
etc. etc.
en tout cas, bravo pour ces recherches qui ont porté leurs fruits
*ou alors c'est une foi inébranlable en les produits des labos pharmaceutiques ; ce n'est pas plus rassurant