Salut,

Je ne peux pas me mettre à ta place mais j'ai déjà vécu, à un jeune âge, 15 ans, un décès tout à fait similaire à celui auquel tu es confronté...
Mais je suis également très malheureux de ce qui t'arrive ! C'est insupportable sur le coup !!!
Mais je suis le premier à te répondre... et sans doute le premier à te dire sur ce forum que ça m'est aussi arrivé.
Je m'explique :

Il ne s'agissait pas d'un chat mais d'un chien, un setter Irlandais, une femelle, Gipsy. Ma 3ème chienne Irlandaise dont nous étions ma mère et moi les maitres...
J'ai en effet eu depuis mon plus jeune âge : Nikky, Atos et Gipsy.... Tous trois issus de la même descendance...

Nous avions un grand, très grand parc, avec un bout non sécurisé...
J'étais incroyablement complice avec Gipsy mais à un point tel que c'était presque boule et bill...
Je l'adorais et Gipsy s'entendait bien avec moi. Nous jouions ensemble et je la laisser gambader dans notre grand parc pour son plus grand plaisir.

Un jour je l'ai appelé, constatant son absence et à ce moment, j'ai entendu un "Bang"... glaçant!!!!
J'ai tout de suite pensé à la partie non sécurisée du parc.... j'ai couru couru couru j'ai remonté l'amont de la pente, celui qui menait tout droit vers une RD... et j'ai vu une voiture défoncée avec ma gipsy devant ...inherte...
J'avais compris... sans doute par intuition... avant que je vois de mes propres yeux ce qui s'était passé.
J'ai traversé, sans faire gaffe, la route dangereuse et me suis porté au secours de mon brave et fidèle chien.
Gipsy ne bougeait plus du tout... Je l'ai enlacée et l'ai portée jusqu'à la maison en pleurant et priant... Il n'y a avait aucune meurtrissure apparente.
Juste que ma Gipsy, toute fofolle d'habitude, ne bougeait plus. Ma belle petite setter irlandais.
Les proprios de la voiture sont venus faire un constat avec ma mère... et moi, je suis resté bien à l'écart avec le cadavre de ma chienne. Je les haïssais ces gens là.
Et puis voila ils sont repartis et m'ont laissé avec ma Gipsy dans les bras.
J'ai tout de même vu qu'ils n'étaient pas heureux de l'événement qui s'était passé. Et qu'ils ne savaient pas quoi me dire.

Ca a été dur ! dur ! dur !. C'est en plus tombé à un moment où les liens qui m'unissaient à ma petite chienne étaient si forts...
Tu n'imagines pas non plus le mal que je ressens encore aujourd'hui de cette scène.

Mais... même si c'est toujours horrible... il y a... LE TEMPS !!!
On ne peut rien y faire à ce qui doit se passer.
L'important est que nos amours ne souffrent pas trop. le moins possible.
La haine... ??? J'en aurais toujours vis à vis des gens dans leur voiture, car je crois qu'ils roulaient trop vite et que le constat n'avait que pour but que leur assurance leur rembourse leur parchoc en plastique.
Mais bon...
Il m'a fallu des années pour me passer du baume sur cet épisode.
Mais depuis, j'ai accompagné d'autres de mes animaux de compagnie vers leur fin de vie terrestre.
Ce sont des "bêtes à chagrin" d'après ma grand mère qui est passée à l'orient, depuis, également.
Il faut s'y faire. Et surtout, si on se donne la responsabilité de leur petite vie, faire de notre mieux... MAIS, à l'impossible, nul n'est tenu.

Donne toi le temps du deuil. Analyse, digère, voire améliore avant ton espace d'accueil pour ne pas avoir de mauvaise surprise...
et puis un jour, la flamme de donner une nouvelle belle vie à un animal de compagnie sera plus vive.

Bon courage... je sais tellement que c'est dur. Dans ma vie, j'ai 37 ans, j'ai accompagné vers leur dernier repos 5 animaux (chiens et chats) et 3 hamsters.... J'ai été attaché à tous...
Mais aujourd'hui, la vie faisant que le temps se passe, j'ai un amour de chat, qui me donne beaucoup de bonheur... BANKSY.
Elle ne risque rien vis à vis des voitures... mais je me fais toujours un sang d'encre quand je la laisse 2 jours.

Prends du temps... Ne pas chercher à remplacer... C'est juste, je pense qu'à un moment ... quand leur compagnie te manque trop, tu peux renouveler une adoption...

Bref, nous sommes snsa doute nombreux à avoir subi des deuils de cet ordre ici... et nous savons tous que c'est tellement DUR !!!! Accroche toi.
:bye:

courage à vous ! c'es si difficile à vivre ! nos routes ne sont pas adaptées à nos boules de poils ! et helas certains chauffeurs ne sont pas tendres lorsqu'ils voient un chat traverser !!!

là vous êtes sous le choc, c'est normal tous vos questionnement ! la cicatrice est grande ouverte !
mais avec le temps cela va aller mieux petit à petit... et c'est le printemps....tant de chatons vont être abandonnés, comme chaque année....vous avec rendu un chaton heureux durant tous ces mois, c'est cela l'essentiel !

et peut-être un autre vous attend-il deja quelque part....il ne remplacera pas votre boule de poils, ne sera pas identique mais vous pourrez également le rendre heureux, et c'est cela qui compte.

courage à vous, nous vous comprenons car nous sommes si nombreux, helas, à avoir vecu cette situation !

Comme je compatis à ta douleur !
Je l'ai vécue aussi, avec un minet qui s'était réfugié chez moi ,sa famille n'en voulait plus .
Un pauvre matou de 7ans,non castré évidemment .
Pourtant,quand il est entré chez moi,le premier jour,il s'est frotté la tête sur mon mâle (castré) comme pour lui dire"fais moi une place". Ce que mon matou a fait d'ailleurs !
Cet irremplaçable matou me suivait au jardin comme un chien ,se couchait vers moi et surveillait les lézards. Puis ,il allait se coucher sous l'abri,à côté de mes chiens ,et rentrait en même temps qu'eux chez moi !
Une bonne année à vivre ce bonheur intense :lover:
Puis,un soir,c'était en avril,il a voulu sortir pour la nuit ,mais je ne savais pas que c'était son dernier soir avec moi ! :cry:
Au matin,je l'ai appelé ,et j'ai entendu des petits miaulements,sous l'abri,il était là,inerte,impossible pour lui de marcher .
Je l'ai emmené chez le véto qui lui a fait une radio et qui a vu que sa colonne vertébrale était abîmée .Il avait été certainement été heurté par le camion poubelle de la nuit !
J'ai téléphoné à une clinique pour qu'il y soit opéré,mais ce pauvre minet ne m'en a pas laissé le temps :cry:
Comme toi,j'ai été dévastée,même si j'avais d'autres petits poilus .
Aujourd'hui,7 années sont passées.Bien-sûr le chagrin n'est plus le même,le temps a fait son œuvre.
Mais rien que d'écrire ces lignes,je pleure !
Je te souhaite beaucoup de courage ,pour ces jours si difficiles à vivre :console:
Il était si beau ton petit matou :lover:
Douces pensées pour lui :coeur:

Pauvre petit Orion parti si tôt là-haut dans les étoiles, à qui j'envoie de tendres pensées :lover:

Courage, je compatis à cette douleur qui te tenaille le cœur, qui le met en miettes.

Oui, c'est arrivé à beaucoup d'entre nous, et c'est si rapide, si foudroyant... les conducteurs ne réalisent pas qu'ils ont une arme entre les mains, et qu'un petit animal peut surgir devant eux... c'est atroce !

Le temps permet de mettre de la distance pour assumer un tel deuil, mais ça reste présent dans notre cœur marqué à jamais, et un rien fait tout remonter en surface. Bien sûr, il y a les souvenirs des jours heureux, mais des souvenirs qui font mal car ils ne sont plus. Puis vient le temps où l'on peut regarder une photo sans pleurer, mais où la larme ne demande qu'à couler si on creuse un peu dans ses souvenirs... le temps du deuil peut s'avérer très long, chacun le gère à sa façon.

Orion était unique, et tu ne pourras jamais le remplacer... chaque animal est unique, et garde sa place dans notre cœur.

Mais peut-être que quand la douleur sera moins forte, peut-être que tu pourras accueillir un autre minou, un minou qui t'attend peut-être quelque part... ait confiance. Et c'est peut-être Orion qui de là-haut l'aura mis sur ton chemin ?

Courage, de là-haut, Orion veille sur toi :lover:

Je suis de tout coeur avec toi dans ces moments tragiques. C'est tellement dur quand ils s'en vont, ils laissent un vide tellement immense.
Plein de douces pensées pour Orion et pour toi
Viens nous en parler autant que tu en as besoin.

Bonsoir fin de journée, je reçois un appel d'une amie, elle me dit : j'ai vu un petit chaton sur le bas côté de la route en allant chercher mon petit fils, j'ai pas pu m'arrêter c'était en contre sens, je vais revoir des que le petit est là, pourras tu le prendre je pense qu'il n'est pas sevré!
:? Suis archi complet mes je peux pas laissée se petit bout dans la nature et ni partir en spa :( donc j'ai dis: oui
elle me rappel 10 minutes plutard et me dis: j'ai le chaton, c'est une petite crevette toute tremper!
on se fixe un point de rencontre pour que je le récupère car elle habite le 80 et moi le 62 et effectivement en arrivant je lui confirme qu'il n'est pas sevré mes qu'il n'a pas pu arrivé seul en pleine route de champs et que demain faut qu'elle retourne voir si il y en aurai pas d'autre ou même la maman!
il a connu l'humain car il n'est pas farouche c'est une machine a ronron, mes il été trés affamé, grogne si on approche de sa gamelle :lol:
voici le petit mikado 491 grammes
http://i65.tinypic.com/21oqyx.jpg
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il a fait le pître puis sait endormi d'un coup :lol:
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comment ne pas fondre :lover:

j'ai bien compris le concept mais honnêtement, je suis très septique...ou alors il faudrait ce "vetement" sur mesure, adapté au chat qui doit le porter pour que effectivement il appuie sur les points désirés....

as-tu essayé le zylkene ? (ou simplement les croquettes royal canin calm qui contiennent le même principe actif, de la proteine de lait) c'est assez efficace en principe et naturel, sans risque d'effet secondaire. par contre il faut en donner durant un mois, ce n'est pas vraiment adapté en vue d'un transport....mais en prevision d'un changement, comme un sejour en vacances, cela peut aider.

Pauvre petit Bonhomme
De tendres pensées pour toi
Il avait pourtant toute la vie devant lui!
Courage

La vie de nos animaux familiers est toujours trop courte. Un chien selon sa taille peut vivre en moyenne 10 à 17 ans, un chat 16 à 18 ans. Le perdre peut être une épreuve douloureuse et difficile à supporter.
A l’annonce de la mort de leur compagnon, nombre d’entre nous se demandent comment désormais vivre sans lui ?

Que l’animal très aimé qui a partagé nos joies et nos peines arrive en fin de vie et s’éteigne doucement ou qu’il meure brutalement d’une maladie foudroyante empoisonné ou renversé par une voiture, c’est toujours un immense chagrin et l’heure de pleurer.

Dans le premier cas les maîtres ont pu se préparer à cette échéance. Ils savent que la mort fait partie du cycle de la vie, et connaissent bien la trop courte espérance de vie de leur compagnon.

Par contre si la mort est violente, inattendue, que l’animal est très jeune, alors cette disparition est encore plus insupportable et éveille une grande colère, voire le refus de croire à ce qui vient d’arriver.
Les morts qui nous semblent prématurées sont tout particulièrement bouleversantes et la brutalité d’un décès accidentel n’offre pas la préparation au deuil.

L'euthanasie :

Pour un animal qui arrive en fin de vie ou dans la dernière phase d’une maladie mortelle, qui souffre trop, se replie sur lui, perd conscience, ne mange plus, les maîtres se posent la question de l’euthanasie pour lui éviter la pire des agonies et couper court à des douleurs insupportables.
Décider que la vie de notre compagnon doit s’arrêter là, est une des résolutions les plus difficiles à prendre. Comment déterminer le degré de souffrance de l’animal, à partir duquel il ne sera pas charitable de le maintenir en vie, si ce n’est juste pour différer notre douleur de le perdre.
Nous avons envie de dire à tous ceux qui sont ou seront un jour confrontés à cette terrible échéance, qu’il s’agira de percevoir avec le plus d’honnêteté possible le moment où la souffrance et la détresse auront gagné sur le plaisir de vivre de l’animal. Les pertes de l’appétit, des capacités motrices et de l’intérêt pour l’entourage, l’incontinence massive, les plaintes et gémissements, étant quelques-uns des signes évidents de cette détresse.
Avec l’avis de son vétérinaire et mis devant l’évidence, on peut alors avec le praticien prendre la lourde décision de lui faire administrer une injection pour « une mort douce». Pour ceux qui le souhaitent et peuvent le supporter, il est recommandé d’accompagner courageusement son animal jusqu’au bout. Certaines personnes derrière cette épreuve, gardent ainsi le réconfort de ne pas s’être détournées et d’avoir jusqu’au dernier instant assisté dignement leur compagnon.

Un cérémonial est nécessaire :

Se pose alors une dernière question : que faire du corps de l’animal ?
Plusieurs solutions sont possibles :
· le laisser chez le vétérinaire.
· l’enterrer dans son jardin à la campagne (à condition de respecter les réglementations : profondeur et chaux vive)
· prendre une place dans un cimetière animalier
· opter pour la crémation qui permet d’enterrer ou disperser ses cendres dans un endroit aimé.
Chacun choisira selon sa sensibilité, mais un cérémonial comme enterrer ou faire incinérer l’animal mort peut aider beaucoup le travail du deuil.
Se renseigner d’avance et parler de ces dernières dispositions à prendre, peut faciliter les choses le moment venu, quand on se trouve trop écrasé de chagrin.

Est-il normal d’être déprimé après la perte de son animal ? Combien de temps cela dure t-il ?

Les effets du deuil et sa chronologie sont trop peu souvent évoqués. Notre société d’aujourd’hui plutôt portée à allonger la vie, préfère ne pas parler de la mort.
Pourtant, le deuil qui est à la fois état et conséquences de la perte d’un être cher est un phénomène normal.
Il n’est pas fou d’avoir du chagrin à la perte de l’animal avec qui on a parfois passé 15 ans d’une vie. C’est même notre dernière expression d’amour pour lui et mieux vaut éviter en cette période les personnes qui ne le comprendraient pas.
Il est au contraire réconfortant de pouvoir exprimer son chagrin auprès de sa famille ou d’amis qui peuvent le recevoir.
Celui qui peut parler, dire son émotion et pleurer avec les siens est favorisé. Il est important de ne pas se sentir critiqué dans sa douleur mais d’être compris et respecté. La meilleure aide pour un endeuillé vient de personnes proches aimant elles aussi les animaux, patientes, indulgentes et sachant simplement écouter sans rien vouloir empêcher de la douleur et des larmes de l’autre.
Tout le monde ne réagit pas de la même manière, et certaines personnes auront plus ou moins besoin de contacts ou d’intimité.
Le deuil se caractérise par l’humeur dépressive, la perte de l’intérêt pour le monde extérieur, la culpabilité, et peut conduire à une dépression grave. Mais attention à ne pas prendre toutes ces manifestations normales du deuil pour un état pathologique.
À la perte d’un animal très aimé, le chagrin est inéluctable et naturel. C’est l’absence d’affliction qui peut être anormale et doit être repérée par les proches. Le maître endeuillé peut aussi nier cette mort et faire comme si l’animal était encore là, or non-dit et refus de la mort diffèrent ou bloquent le deuil.

Les différentes phases du deuil :

Le déroulement normal du deuil passe successivement par différentes phases :
· D’abord le choc : celui qui reste, heurté, secoué dans toutes ses fibres, saisi d’une lassitude écrasante est atteint jusque dans sa santé, perd l’appétit, le sommeil. Émotionnellement perturbé, tour à tour agité il crie sa peine, ou comme anesthésié, silencieux, muré, il gémit livré à des affects d’impuissance, de révolte, de colère, d’abandon, de honte parfois, de culpabilité souvent.
Tel maître se sent coupable de n’avoir pas repéré plus tôt les premiers signes de la maladie et n’avoir pas conduit son chien ou son chat de suite chez le vétérinaire ; tel autre de n’avoir pas prévu le danger qui guettait son compagnon. S’en prenant à la terre entière « pourquoi est-ce mon chien qui est mort ? », d’autres enragent aussi de la négligence d’un tiers qui a mal refermé le portail du jardin, contre le chauffard qui a renversé leur animal, ou le maître de ce chien qui a brisé la colonne de son chat ......
Certains rendent responsable le vétérinaire de n’avoir pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour sauver leur animal.

Même celui qui a pu se préparer à son deuil, n’échappe pas à cette phase qui peut être moins violente mais plus insidieuse, et jeter parfois davantage dans la torpeur.

· Puis vient l’état dépressif : comme soudain coupé des autres, c’est la grande solitude.
L’endeuillé est seul à savoir ce que la perte de son animal représente de douleur pour lui. Tout est sombre, chaque geste du quotidien est laborieux, ce qui pourrait le divertir est rejeté, il ne peut être distrait ni déchargé de sa tâche de remémoration des souvenirs communs avec l’animal chéri. Sans plus être très bien capable de s’occuper de lui-même, il a besoin d’être protégé, consolé. Il faut ce temps comme pour tourner à vide ...... pour accepter peu à peu la réalité, la révolte, la blessure, l’état de fragilité, le déséquilibre qu’a engendré la perte.
Des rêves surviennent, on voit le chien, le chat encore vivant, puis il s’éloigne, s’estompe, s’efface ......

· Enfin avec le temps grand consolateur du deuil, la douleur s’adoucit même si elle se réveille plus ou moins à des occasions anniversaires ou en croisant un autre animal de même race ...... celui que l’on ne peut plus voir, sentir, caresser va maintenant vivre à l’intérieur de nous. Sa photo nous accompagne, on aime évoquer les bons moments passés en sa compagnie .... on sait qu’il n’est plus, mais il reste présent au fond de nous à jamais. On accepte ce passé qui ne sera plus et l’avenir qui ne sera pas avec l’être perdu.
Ce parcours achemine vers la finalisation du deuil, qui laisse enfin la possibilité de reprendre goût à la vie.
Ces différentes phases ne sont normalement que passagères, et c’est par contre si le maître s’enferme dans l’une d’elle qu’il ne peut terminer son travail de deuil et sombrer dans la dépression.

Peut-on parler de la mort aux enfants, et comment ?

Pour comprendre et accepter, les enfants ont besoin de connaître la vérité.
Selon leur âge, la nature et la force du lien qui les unissait à leur compagnon, ils peuvent être plus ou moins troublés ou affectés par sa perte.

La mort est perçue différemment selon les âges :

· Des explications justes mais simples seront suffisantes pour les plus jeunes jusqu’à environ 6 ans. Pour les petits le " plus jamais " n’existe pas encore et il ne sera pas véritablement question de deuil pour eux, mais d’expérience de séparation, de perte qu’il faut veiller à ce qu’elle ne soit pas vécue dans la solitude. C’est la toute chaude présence rassurante des parents qui leur permettra de dépasser l’épreuve sans traumatisme.

· Les plus grands poseront de nombreuses questions, inutile cependant d’entrer dans des détails qui pourraient les choquer. Par contre, répondre avec clarté aux interrogations fréquentes comme " est-ce qu’il a mal, est-ce qu’il a froid ? " rassure et apaise le jeune.
Présenter franchement les faits douloureux ainsi que proposer à l’enfant de voir l’animal mort s’il le souhaite, n’est pas choquant pour lui comme beaucoup le croient habituellement. Cela le conduit au contraire à l’acceptation de l’irréversible de cette perte.

De même que l’adulte, il sera aidé dans son travail de deuil s’il peut ensuite fleurir la tombe de son animal, ou savoir où sont ses cendres.

L’enfant qui perd son petit compagnon adoré, voit sa souffrance majorée si les parents font silence sur l’évènement, et ne veulent pas lui laisser vivre la réalité des choses. Le sentiment de solitude et d’abandon qui pourrait en résulter, ne ferait que le bloquer dans ce passage pourtant obligé par la souffrance, qui lui permettrait de rompre progressivement les liens avec l’animal perdu.
L’enfant qui éprouve de l’angoisse face à la mort, sera rassuré si vous lui dites que toutes les maladies ou les blessures n’y mènent pas forcément.

Lui dire que l’on a volé son chat ou son chien ou bien qu’il est parti ... ne le ferait que développer des scénarii faux et angoissants du genre " il est parti parce que le l’ai disputé, est-ce qu’il va revenir ? ". Il pourrait se sentir trahi le jour où inévitablement il apprendra la vérité.
Parce que l’on ne peut jamais soustraire ses enfants aux épreuves de la vie, il ne sert à rien de vouloir les abriter de la mort de leur animal chéri. Cette tentative de se protéger soi-même les empêche de grandir et de se préparer sainement à la vie et aux pertes inévitables qui la jalonnent.
Il est donc capital que l’enfant puisse dire sa peine à ses parents, extérioriser ses émotions et se sentir accompagné dans son chagrin. Il peut le faire d’autant mieux que les adultes eux-mêmes ne dissimulent pas leur propre peine en lui montrant ainsi qu’il est normal de l’exprimer.

Ne pas négliger les autres animaux de la maison :

Plusieurs animaux qui cohabitent, tissent entre eux des liens d’attachement. Lorsque l’un d’eux décède, l’autre le cherche et ressent un vide. Il perçoit aussi la détresse de son maître qui le délaisse un peu. Dans son chagrin, il ne faut pas oublier celui qui reste et s’efforcer de lui consacrer du temps et lui garder ses habitudes. Faute d’attention, certains petits compagnons de longue date dépriment, ou même se laisse mourir à la suite de la disparition de leur " copain ".

Sans ce nécessaire travail naturel du deuil, aucune relation nouvelle avec un autre ne pourra se nouer sainement.
Se précipiter de manière prématurée pour reprendre un compagnon fait partie de ces vaines tentatives d’échapper à l’incontournable souffrance du deuil qui ne manquera pas de ressurgir un jour dans un moment et des circonstances inattendues.

Tout animal chéri disparu est irremplaçable.
Celui qui lui succèdera pour continuer avec vous un bout du chemin de la vie, se montrera capable de vous apporter aussi du bonheur, si après votre deuil vous savez l’accueillir pour lui-même.

Source : Co-rédaction de Danièle Mirat et Françoise Gaudron comportementalistes

d'autres sources :
http://pagesperso-orange.fr/soutienperteanimaldomestique/

Il existe également un ouvrage :

"Quand l'animal s'en va... "
Gérer la Perte de son Animal de Compagnie.
Du Dr Marina Von Allmen-Balmelli.

Ce livre se veut une aide pour toute personne touchée par le sujet du deuil pour un animal et aimerait aussi contribuer à améliorer la compréhension des personnes qui n’ont jamais possédé un animal de compagnie, pour la perte et la tristesse que ressentent ceux qui ont partagé une partie de leur vie avec un tel ami.

Référence: Éditions Jouvence, octobre 2007

Ce n'est pas la litière de Kael qui pue (fermée, charbon et nettoyée plusieurs fois par jour). C'était mes grillons !
Soucis réglé par une litière de chanvre

Merci Daeri :lover: Sur mon bridge Nikon j'ai en effet le mode scène, en automatique, avec les possibilités suivantes : portrait, paysage, portrait de nuit, fête/intérieur, plage/neige, coucher de soleil, aurore/crépuscule, paysage de nuit, gros plan, aliments, musée, feux d'artifice, reproduction, contre-jour, panoramique assisté, enregistrement audio. Je n'ai pas "animaux"... ça serait trop beau :siffle:

J'ai ce vieux modèle : http://www.materiel.net/appareil-photo-numerique-bridge/nikon-coolpix-p90-45455.html

Merci pour l'astuce du sac de riz Adoplouff :lover:

Au sujet du flash, je ne peux pas me permettre de l'utiliser, car Pierrot a traumatisé involontairement Minette il y a quelques années, pas question de remettre ça ! C'est d'ailleurs sans doute pour cela qu'elle a peur de l'objectif.


Hello Mamiecat,

Il est très bien ton appareil !
En plus il est débrayable ! :)
Mode semi-auto ( Priorité ouverture : A , Priorité vitesse : S) et Mode tout manuel (M)

Pour l'utilisation des "programmes résultats", tels que sport, paysage, portrait, etc. C'est du "tout venant" et cela permet de se poser moins de questions en théorie. Mais, le résultat attendu n'est pas toujours là.
C'est bien de savoir quelle influence ils ont sur les réglages de l'appareil. Tu peux faire plus adapté en utilisant les modes semi-auto (A, S) et/ou mode Manuel (M).

1er exemple , un mode Paysage va privilégier par définition un grande profondeur de champ... donc ouverture petite du diaphragme (F8, F11, etc...) ... (plus le chiffre est grand, plus l'ouverture est petite...)
Il en résulte une vitesse faible...
Et oui, il faut que la lumière ambiante aie le temps d'imprimer le film (ou le capteur aujourd'hui) pour que l'exposition soit correcte. Plus tu fermes l'ouverture, plus il faudra de temps pour remplir le seau en gros.

2ème exemple , un mode sport va privilégier une vitesse rapide.... Et donc, pour que l'expo soit bonne, l'ouverture de ton objectif sera plus grande (F 3, F4, etc...). Toujours afin de bien remplir le capteur de lumière pour une bonne exposition.

3ème exemple , un mode portrait, va sans doute privilégier une assez faible profondeur de champ et donc un grande ouverture de l'objectif. Beaucoup de lumière entre donc sur le capteur et par conséquence, la vitesse sera rapide...

4ème exemple , Mode nuit, même principe, il faut pouvoir faire rentrer assez de lumière sur le capteur pour que la photo ne soit pas toute noire. La vitesse sera donc lente, donc risque de "flou de bougé" et donc flou d'où l'usage d'un trépied.

etc...

Et enfin, tu peux choisir la sensibilité, c'est à dire les ISO ... Plus ça monte (100, 200, 400, 800, etc...). Plus le film sera sensible est donc plus tu peux t'affranchir des contraintes de vitesse. Par contre, il y a un revers de la médaille. Plus tu montes en ISO et plus la qualité (grain, bruit numérique) sera dégradée...

En photo, il faut toujours trouver des solutions et faire des compromis en gros...


Les modes semi-automatiques, tels que A et S sont supers bien pour commencer à maitriser ce que l'on fait et ce à quoi on veut donner la priorité justement...
S = priorité vitesse... donc si je veux saisir une scène où ça bouge pour éviter les flous de mouvements, je vais l'augmenter et cela par conséquence ouvrira l'ouverture de l'objectif... en résulte une profondeur de champ plus courte.
A = priorité ouverture... donc si je veux saisir beaucoup de profondeur de champs, il faudra une ouverture petite (donc un grand chiffre) mais il en résultera une plus faible vitesse...
Etc...

Les mode "résultats automatiques" tels que scène, paysage, sport, portrait, nuit, ne font que reprendre cette logique, comme des recettes toutes prêtes, mais ils sont souvent mal employés si on ne comprends pas ce qui se passe dans les rouages de l'appareil...

Par exemple, si on souhaite prendre une photo portrait d'ami la nuit et que l'on choisi le mode nuit, les risque sont forts pour que ce soit flou à cause d'une vitesse trop lente.
C'est donc bien de se poser la question avant de prendre une photo, quelle est ma priorité ?
La vitesse ? (S) Figer un mouvement (choisir une vitesse rapide) ou au contraire, rendre un flou de mouvement (choisir un vitesse lente)...
L'ouverture ?(A) Avoir une faible profondeur (F2, F3...) de champ pour isoler mon sujet du fond comme pour un portrait (FLOU DERRIÈRE LUI). Ou au contraire, avoir une grande profondeur de champ (faible ouverture f8, f11...), afin que tout soit net, du début à la fin... mais la vitesse en sera réduite...

Bye

PS : Concernant l'usage du flash, ne pas trop se contraindre à cause de certaines idées reçues. Cela peut "perturber le sujet"... mais seulement par effet de surprise. Tout comme quand j'allume la lumière de ma chambre le matin et que je réveille Banksy et Harlem qui me montrent par leur clignement d'yeux que ça les "pique" (oui, je sais quand j'allume, il est trop tôt, 4h30...) :D . Mais il est prouvé depuis longtemps que l'usage du flash ne fait aucun mal ni ne détériore la vue... Comme pour les photos de bébés. Ne pas avoir peur là-dessus...

Pour moi, le traumatisme des chats vis à vis de l'appareil vient d'ailleurs... Pour en avoir photographié plusieurs bien que Banksy soit mon premier chat à moi rien qu'à moi. La posture du photographe, son stress, la taille de l'objectif, la couleur de ce dernier, la technique d'approche, le manque de patience, etc... Sont les problèmes essentiels du débutant. Il y a un vrai coté intrusif vis à vis du sujet, mais cela est valable pour les humains comme pour les animaux... Je connais bien.
Ce sont de meilleurs arguments pour expliquer que nos minous ou minettes n'aiment pas être pris en photo... A nous de nous améliorer (en trouvant des combines) et à eux de se "professionnaliser" (en s'habituant à la présence de l'objectif comme pour les humains) ;)
Il y a de toute évidence un coté chasse. Et si nos animaux aiment pratiquer le sport d'instinct, ils préfèrent se sentir du bon coté du fusil... Je pense qu'ils le sentent très bien et n'aiment pas se sentir être une proie.

Je peux faire une super photo en 5 minutes d'un modèle humain qui est pro, habitué à la photo, est n'est pas gêné devant l'objectif, tout comme un journée entière ne suffirai pas à donner un air naturel à un modèle débutant qui, comme ils le disent souvent "ne se trouvent pas photogénique ou n'aiment pas être pris en photo...). C'est tout pareil, le photographe doit s'adapter !

Bonsoir ben pui mamiecat je comprend pas qu'on est pu abandonner ce petit bout il est si adorable et connait bien la litiére donc qu'est ce qu'il lui on reprocher pour l'abandonner :(
Mikado a une touche :wink: je vous en dit pas plus pour le moment, je pense que la personne vous l'annoncera elle même :wink:
petite vidéo je lui apprend le non pour pas qu'il morde pour rien
https://youtu.be/73WWy0LYrtM
et petite photo en plus
http://i66.tinypic.com/r7liyu.jpg

Quelle superbe nouvelle,dès le matin :ouaiyoupi:
Je me doutais que c'était toi qui allait adopter ce petit Mikado :D
Comme je suis heureuse pour toi ,et pour lui :lover:
Je vous souhaite une longue et belle aventure ensemble !
Mais c'est bien parti ,je crois . Il est déjà tellement heureux ,à voir les vidéos :lover:
Fais-lui tout plein de câlins pour moi :lover:

Bonjour oh trop contente pour le petit mikado, merci à toi, moi aussi j'étais ravis de te rencontrer et c'est merveilleux pour mikado d'avoir trouvé si vite une famille. J'adore le voir courir au travers de la chambre et le miroir LOL sacrée petit bonhomme, je te remercierai jamais assez grâce à toi il va connaître le vrai bonheur et recevoir beaucoup d'amour, fait lui un gros câlins de ma part

C'est une super nouvelle
J'adore quand ils sont hauts comme 3 pommes et qu'ils se gonflent pour paraître plus gros comme dans la vidéo.
Bonne et heureuse vie dans ta nouvelle famille petit loup et c'est super car on va le voir grandir.

Génial. Tout va bien pour lui. Un vrai petit homme. T'es vidéos passent bien. Une belle adoption

super de pouvoir suivre les aventures de ce petit Mikado !
il est super mignon ! il est dans la periode "hyperactivité" où ça court partout, toujours en mouvement !!!! que du bonheur à regarder tes videos !!! il va très vite prendre ses marques chez toi !!!!

Comme il est trognon ce petit bonhomme :lover:

Pour son coryza, il était peut-être déjà porteur, sans que ça se soit déclaré, et ça s'est peut-être déclaré au cours d'une période de stress, même courte ? Parfois, on ne sait pas vraiment où ils peuvent choper un virus, c'est comme pour nous quand on s'enrhume.

un trés trés joli reportage !!!
qu'il est mignon ce petit mikado ! (enfin là je radote !! je l'ai deja dit)
j'aime particulièrement les deux photos prises depuis -sous- la table basse !

Coucou !
Il est bien craquant ce petit noir et blanc
Les photos sont super !

Comme il a changé ce petiot
Un grand merci pour ce reportage photos, et vidéos où on l'entend ronronner
Il est vraiment trop mignon ce petit Mikado

Merci de nous donner des nouvelles de ce petit coeur !
Les photos sont superbes.

Bonsoir wahou qu'est ce qu'il a grandi, il est sublime. On voit qu'il est très à l'aise dans ses coussinets et qu'il a une formidable maman. Encore merci pour lui, moi je continue mes sauvetages, j'ai plusieurs chatons dont un petit bout que je biberonne. Gros câlins à mikado

Qu'est-ce qu'il grandit vite ce petit loup, il a l'air toujours aussi adorable

C'est aussi un grand bonheur de le voir grandir ce petit Mikado !!! Je ne savais pas que les chats pouvaient être réceptifs au clicker !

Bonsoir wahou qu'est ce qu'il est devenu beau et dit donc il est un peu pourris gâtée, il a droit de tout faire MDR j'adore l'escalade sur les chaises, le linge etc... trop mimi les oiseaux attention aux chats ha oui au faite mika c'est vraiment le sosie de ma papillote trop trop belle, encore merci pour mikado

Excellent ! Merci pour ces nouvelles avec photos à l'appui, j'adore !!!
Il a l'air vraiment malheureux !

Bonsoir oh là que ça fait plaisir, celui là a vraiment eu beaucoup de chance de vous trouvez. Merci énormément pour toutes ses photos. C'est un grand matou, bon j'avoue oui a une période il été un peu trop enrobé LOL. Suis heureuse qu'il fait votre bonheur

Un tout, tout grand merci pour ces magnifiques photos de Mikado
Quel bonheur de le voir comme ça !