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belle Parnelle !
![Image]()
Je t'aime ma Plume et tu es dans mon coeur pour toujours !
Parnelle... adieu ma puce
Il y a plus de 30 mois de ça, ma Parnelle me quittait... un samedi
Je me souviens de cette minuscule crevette (8 ou 9 semaines) qu'on avait été chercher chez des particuliers. Après, ça a été 15 ans d'amour et d'aventures...
florilège de Parnelle bébé:
http://parnelle.pagesperso-orange.fr/pa ... index.html
Je me souviens de cette minuscule crevette (8 ou 9 semaines) qu'on avait été chercher chez des particuliers. Après, ça a été 15 ans d'amour et d'aventures...
florilège de Parnelle bébé:
http://parnelle.pagesperso-orange.fr/pa ... index.html
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
17 heures passées... nous nous retrouvions seuls... même si le chagrin est moins fort, je ne t'oublierai jamais
![Image]()

Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Cela fait 29 mois que Merlin est parti, et je culpabilise toujours...
Mon Merlin, je pense très fort à toi. Je t'aime.
![Image]()

Parnelle... adieu ma puce
mes pensées vont vers toi qui a partagé plus d'un quart de ma vie...
Avec près d'un poumon en moins, tu as passé le cap des quinze ans, tu t'es bien battue ma pupuce
![Image]()
Avec près d'un poumon en moins, tu as passé le cap des quinze ans, tu t'es bien battue ma pupuce

Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce




Je t'aime ma Plume et tu es dans mon coeur pour toujours !
Parnelle... adieu ma puce
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
ma belle dans le jardin où elle régnait sans partage... il y a déjà longtemps
je ne l'oublierai jamais
![Image]()
je ne l'oublierai jamais

Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
j'ai écris des tas d'histoires sur ma Parnelle, disparue il y a près de trois ans maintenant...
j'en ai posté peu ici, des anecdotes parfois drôles parfois insolites... en voici une:
"Il faisait beau ce jour là, un été... celà faisait quelque temps déjà que l'on n'avait pas amené Parnelle chez le véto - elle y allait souvent
.
Je travaillais dans mon petit bureau et Isa, mon épouse, s'est mise à crier: "viiiite, viens voir la chatte !!!".
Parnelle était assise devant le petit tapis de la porte d'entrée, dans la maison. Elle revenait d'une de ses expéditions, les sentiers, les champs de maïs et le petit bois près de chez nous ne devaient plus avoir aucun secret pour elle.
Vous avez vu le film Banzai avec Coluche? Les piqures de moustique? Coluche la tête toute boursouflée avec des excroissances et des protubérances partout? Eh ben c'est ça. Parnelle avait les joues toutes gonflées et des espéces de boudins qui lui pendaient du menton. On aurait dit une patate germée.
Elle ne souffrait pas et nous regardait avec un air du genre: "ben quoi, qu'est-ce que vous avez à vous agiter? vous voulez ma photo?"
Ni une ni deux, hop dans la boîte et direction la clinique. Une petite piquepique et tout rentra dans l'ordre en quelques minutes. Plante urticante? Piqûre d'insecte? Nous n'avons jamais su. Je regrette de ne pas avoir fait de photo mais j'avoue que j'avais autre chose en tête.
Voilà une autre anecdote et j'ai de quoi alimenter sa page pendant très longtemps. Ma belle aventurière, mon petit clown nous en a fait voir de toutes les couleurs..."
j'en ai posté peu ici, des anecdotes parfois drôles parfois insolites... en voici une:
"Il faisait beau ce jour là, un été... celà faisait quelque temps déjà que l'on n'avait pas amené Parnelle chez le véto - elle y allait souvent

Je travaillais dans mon petit bureau et Isa, mon épouse, s'est mise à crier: "viiiite, viens voir la chatte !!!".
Parnelle était assise devant le petit tapis de la porte d'entrée, dans la maison. Elle revenait d'une de ses expéditions, les sentiers, les champs de maïs et le petit bois près de chez nous ne devaient plus avoir aucun secret pour elle.
Vous avez vu le film Banzai avec Coluche? Les piqures de moustique? Coluche la tête toute boursouflée avec des excroissances et des protubérances partout? Eh ben c'est ça. Parnelle avait les joues toutes gonflées et des espéces de boudins qui lui pendaient du menton. On aurait dit une patate germée.
Elle ne souffrait pas et nous regardait avec un air du genre: "ben quoi, qu'est-ce que vous avez à vous agiter? vous voulez ma photo?"
Ni une ni deux, hop dans la boîte et direction la clinique. Une petite piquepique et tout rentra dans l'ordre en quelques minutes. Plante urticante? Piqûre d'insecte? Nous n'avons jamais su. Je regrette de ne pas avoir fait de photo mais j'avoue que j'avais autre chose en tête.
Voilà une autre anecdote et j'ai de quoi alimenter sa page pendant très longtemps. Ma belle aventurière, mon petit clown nous en a fait voir de toutes les couleurs..."
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Pauvre choupette lol! Peut-être que c'étaient des chenilles processionnaires qui l'avaient piquée, c'était arrivé à un de mes chiens aussi..Il ne comprenait pas ce qu'il se passait!
C'est avec plaisir que je lirai les anecdotes de cette jolie Parnelle, qui a eu une très belle vie
C'est avec plaisir que je lirai les anecdotes de cette jolie Parnelle, qui a eu une très belle vie

Parnelle... adieu ma puce
Parnelle... petite histoire du samedi... souvenirs tendres, souvenirs heureux...
Madame La Pie a eu chaud...
Parnelle était la reine de son vaste jardin et à moins d'être envahie par plusieurs assaillants, elle défendait farouchement son domaine. Je ne sais pas combien de fois nous l'avons vu revenir, les pupilles noires et larges comme des billes, la queue en balai...
Il n'y avait pas que des chats qui contestaient sa domination. Un printemps, il y a eu une pie. C'était extrémement agaçant y compris pour nous car je ne sais pas si vous avez déjà entendu une pie rouspéter mais c'est très désagréable.
Elle devait avoir son nid tout près, peut-être dans les arbres du voisin... Toujours est-il que dès que Parnelle sortait, c'était parti: kak kak kak kak sans arrêt. Elle volait menaçante au-dessus de Parnelle que ça énervait, elle fouettait de la queue tout en poursuivant son chemin.
Le manège a duré quelques semaines. Un jour, Parnelle s'est couché dans l'herbe alors que la pie jacassait et volait au-dessus d'elle. Au bout de quelques minutes, l'oiseau s'est rapproché et... comme un ressort, Parnelle a fait un bond extraordinaire (je dirais entre 1m70 et 2mètres) et j'ai entendu sa patte claquer contre le corps de l'oiseau. La pie s'est échappée. Je suis allé voir et il y avait deux plumes de pie au sol...
Nous ne l'avons plus jamais vue ou entendue
Madame La Pie a eu chaud...
Parnelle était la reine de son vaste jardin et à moins d'être envahie par plusieurs assaillants, elle défendait farouchement son domaine. Je ne sais pas combien de fois nous l'avons vu revenir, les pupilles noires et larges comme des billes, la queue en balai...
Il n'y avait pas que des chats qui contestaient sa domination. Un printemps, il y a eu une pie. C'était extrémement agaçant y compris pour nous car je ne sais pas si vous avez déjà entendu une pie rouspéter mais c'est très désagréable.
Elle devait avoir son nid tout près, peut-être dans les arbres du voisin... Toujours est-il que dès que Parnelle sortait, c'était parti: kak kak kak kak sans arrêt. Elle volait menaçante au-dessus de Parnelle que ça énervait, elle fouettait de la queue tout en poursuivant son chemin.
Le manège a duré quelques semaines. Un jour, Parnelle s'est couché dans l'herbe alors que la pie jacassait et volait au-dessus d'elle. Au bout de quelques minutes, l'oiseau s'est rapproché et... comme un ressort, Parnelle a fait un bond extraordinaire (je dirais entre 1m70 et 2mètres) et j'ai entendu sa patte claquer contre le corps de l'oiseau. La pie s'est échappée. Je suis allé voir et il y avait deux plumes de pie au sol...
Nous ne l'avons plus jamais vue ou entendue

Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Histoires de Parnelle: Le Docteur Cocotte...
C’était le docteur B. en fait, le plus âgé des trois vétérinaires qui ont eu à s'occuper de Parnelle. Notre minoune a eu bien des misères pendant sa courte vie de chat et nous l'avons amené à la clinique plus de cinquante fois dont près de vingt au cours des 4 premières années de son existence.
Le docteur B est vite devenu le docteur "Cocotte" car chaque fois qu'il sortait Parnelle de sa boîte, il lui disait "allez viens par-là Cocotte". Avec lui, elle ne bronchait pas, elle était tout sucre et tout miel, c'en était drôle car non seulement il fallait user de mille ruses pour l'emmener chez le véto mais la soigner était un exercice assez éprouvant. Il avait une espèce d'autorité naturelle, c'était un véto de la vieille école, très passionné et très attaché aux animaux qu'il soignait.
C'est lui qui l'avait sauvée de son accident au poumon et peut-être en gardait-elle un souvenir empreint de crainte respectueuse. Toujours est-il que terrée au fond de sa boîte, elle se laissait attraper par lui et ensuite d'une main sûre et ferme, il l'auscultait, lui prenait la température, lui injectait tel ou tel produit sans qu'elle n'émette la moindre protestation. Chaque fois qu'il s'absentait pour aller chercher quelque chose, elle venait se blottir en rampant contre sa maîtresse ou moi et quand la visite était terminée, la boîte dans laquelle il avait été si difficile de la faire rentrer devenait un havre où elle se réfugiait vite fait, flairant le retour vers la maison...
A l'aller, c'était une autre affaire. Très vite, il a fallu apprendre à sortir la boîte au dernier moment. Le simple fait de la changer de place une ou deux heures avant et hop, garanti, elle filait et on ne la revoyait pas de la journée. Une autre fois, précaution prise, la porte d'entrée étant fermée, elle trouva le moyen d'aller se planquer dans le sommier, sous le matelas... impossible de la déloger = rendez-vous annulé ! On avait l'air fin au téléphone, expliquant au bon docteur que Parnelle ayant senti le coup venir, s'était mise hors de portée...
Il a fallu faire attention à notre langage par la suite. Nous avions beau être très prudents (entrée fermée, chambre inaccessible) elle était à l'écoute et très observatrice et tous les "bon, faut y aller", "on emmène le minou" ou autres "bon, on y va" la faisaient immanquablement détaler, et alors pour la coincer, c'était une vraie corrida. Je pense vraiment qu'elle identifiait ces petites phrases et pas seulement notre agitation et nos préparatifs pour aller chez le véto car les formules en question se sont avérées fort utiles par la suite. Chaque fois que nous avions besoin qu'elle s'éloigne de la porte (arrivée d'une personne inconnue, départ pour les courses ou pour une sortie etc...) un petit coup de "bon, on emmène le minou" ou "on va voir le docteur Cocotte" et zou, elle allait se planquer !!
Quand le docteur Cocotte a pris sa retraite il y a huit ans, nous lui avons fait une petite lettre avec une photo de Parnelle, pour le remercier de l'avoir sauvée quand elle n'avait que treize mois. Quand notre pupuce nous a quittés l'été 2011, nous en avons fait une autre, plus longue, plus triste. Il nous a répondu, il se souvenait bien de cette petite chatte au "caractère bien trempé"...
C’était le docteur B. en fait, le plus âgé des trois vétérinaires qui ont eu à s'occuper de Parnelle. Notre minoune a eu bien des misères pendant sa courte vie de chat et nous l'avons amené à la clinique plus de cinquante fois dont près de vingt au cours des 4 premières années de son existence.
Le docteur B est vite devenu le docteur "Cocotte" car chaque fois qu'il sortait Parnelle de sa boîte, il lui disait "allez viens par-là Cocotte". Avec lui, elle ne bronchait pas, elle était tout sucre et tout miel, c'en était drôle car non seulement il fallait user de mille ruses pour l'emmener chez le véto mais la soigner était un exercice assez éprouvant. Il avait une espèce d'autorité naturelle, c'était un véto de la vieille école, très passionné et très attaché aux animaux qu'il soignait.
C'est lui qui l'avait sauvée de son accident au poumon et peut-être en gardait-elle un souvenir empreint de crainte respectueuse. Toujours est-il que terrée au fond de sa boîte, elle se laissait attraper par lui et ensuite d'une main sûre et ferme, il l'auscultait, lui prenait la température, lui injectait tel ou tel produit sans qu'elle n'émette la moindre protestation. Chaque fois qu'il s'absentait pour aller chercher quelque chose, elle venait se blottir en rampant contre sa maîtresse ou moi et quand la visite était terminée, la boîte dans laquelle il avait été si difficile de la faire rentrer devenait un havre où elle se réfugiait vite fait, flairant le retour vers la maison...
A l'aller, c'était une autre affaire. Très vite, il a fallu apprendre à sortir la boîte au dernier moment. Le simple fait de la changer de place une ou deux heures avant et hop, garanti, elle filait et on ne la revoyait pas de la journée. Une autre fois, précaution prise, la porte d'entrée étant fermée, elle trouva le moyen d'aller se planquer dans le sommier, sous le matelas... impossible de la déloger = rendez-vous annulé ! On avait l'air fin au téléphone, expliquant au bon docteur que Parnelle ayant senti le coup venir, s'était mise hors de portée...
Il a fallu faire attention à notre langage par la suite. Nous avions beau être très prudents (entrée fermée, chambre inaccessible) elle était à l'écoute et très observatrice et tous les "bon, faut y aller", "on emmène le minou" ou autres "bon, on y va" la faisaient immanquablement détaler, et alors pour la coincer, c'était une vraie corrida. Je pense vraiment qu'elle identifiait ces petites phrases et pas seulement notre agitation et nos préparatifs pour aller chez le véto car les formules en question se sont avérées fort utiles par la suite. Chaque fois que nous avions besoin qu'elle s'éloigne de la porte (arrivée d'une personne inconnue, départ pour les courses ou pour une sortie etc...) un petit coup de "bon, on emmène le minou" ou "on va voir le docteur Cocotte" et zou, elle allait se planquer !!
Quand le docteur Cocotte a pris sa retraite il y a huit ans, nous lui avons fait une petite lettre avec une photo de Parnelle, pour le remercier de l'avoir sauvée quand elle n'avait que treize mois. Quand notre pupuce nous a quittés l'été 2011, nous en avons fait une autre, plus longue, plus triste. Il nous a répondu, il se souvenait bien de cette petite chatte au "caractère bien trempé"...
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
Parnelle... adieu ma puce
Parnelle, ma princesse aux yeux verts. Je t'ai tant aimée, je t'aimerai toujours.
Réglisse, mon adorable petit criquet, je t'aime à tout jamais...
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